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Nelson

  • Nelson
  • Engagé depuis 1977

Piscicais depuis 2001
Modem depuis 2007
Anticor depuis 2009
Mail: anticor.poissy@gmail.com
  • Engagé depuis 1977 Piscicais depuis 2001 Modem depuis 2007 Anticor depuis 2009 Mail: anticor.poissy@gmail.com

phrase du jour

Je ne suis pas né Français ni même Européen, mais je suis Français et Européen.

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 21:57

 

Pour ceux qui ont du mal à comprendre, je suis d'origine portugaise, j'ai donc l'occasion de me rendre régulièrement au Portugal. Depuis quelques années, ce logo est présent sur bon nombres de produits.

compro-portugues.png

En France, il semble impossible de mettre en avant des produits français. Pourtant cela fonctionne au Portugal, petit pays avec de petits moyens.

Ce n'est pas l'Etat portugais qui a mis ce logo en place, mais les chefs d'entreprises portugais. Je ne sais pas si c'est par patriotisme ou simple marketing (voire les 2) mais ils l'ont fait. Et ça marche, personnellement je privilégie les achats de produits avec ce logo.

Les critères sont simples: siège social au Portugal, valeur de tranformation majoritairement au Portugal (pour faire simple), respect des réglementations en vigueur, marque déposée au Portugal.

Ce projet est soutenu au Portugal par des poids lourds de l'économie nationale tels SONAE (centre commerciaux, supermarchés, télécom... dans le monde entier) ou GALP (pétrolier).

Et on comprend pourquoi c'est si difficile en France de faire aussi simple. Les grandes entreprises françaises ont non seulement délocalisé leur production mais également leur sièges sociaux pour "optimiser" leur fiscalité. En clair, seule une minorité de ces entreprises pourrait prétendre à un tel logo. Et on peut compter sur leurs puissants lobbies pour bloquer ce genre de sujet (pour rappel les lobbistes écrivent régulièrment les amendements de certains députés naifs ou paresseux).

On peut toujours espérer que les patrons de PME fassent preuve d'audace et qu'ils sortent de la logique de la délocalisation et de l'évasion optimisation fiscale.


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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 20:46

Le 10 avril dernier, le Président de la République avait promis “une lutte implacable contre les dérives de l’argent et la cupidité de la finance occulte”. Le projet de loi contre la fraude et la grande délinquance financière devait traduire dans les textes cette ambition.

A partir du 11 septembre, ce projet fera l’objet d’une ultime lecture à l’Assemblée nationale. L’association Anticor, soucieuse de l’ampleur de la fraude fiscale et des insuffisances manifestes dans l’application de la loi, sera particulièrement attentive aux décisions qui seront prises sur les questions suivantes:

1. Le législateur donnera-t-il aux associations qui luttent contre la corruption le droit d’agir en justice? Les moyens des associations sont modestes. Mais ce droit leur permettrait de remédier, pour une partie, aux défaillances des procureurs. Ces défaillances ont été nombreuses, et rien ne prévient aujourd’hui le retour aux interférences du pouvoir dans le cours des affaires. En particulier, la réforme constitutionnelle garantissant l’impartialité de l’Etat dans la nomination des procureurs a été reportée à une date indéterminée.

2. Le législateur donnera-t-il aux lanceurs d’alerte la protection appropriée?En particulier, cette protection doit être générale, comme l’a jugé la Cour européenne des droits de l’homme[1]. Elle doit aussi être effective, ce qui impose de confier à une autorité indépendante le pouvoir de prendre toutes les mesures nécessaires à cette protection.

3. Le législateur donnera-il au parquet financier le pouvoir de poursuivre la fraude financière? Il serait absurde de créer un parquet spécialement chargé de lutter contre la fraude tout en laissant au ministre en charge du budget la réalité du pouvoir de poursuivre. Et, comme le souligne la Commission nationale consultative des droits de l’homme, ce serait un traitement discriminatoire de la délinquance. Faute de disposer de ce pouvoir de poursuite, le procureur financier n’incarnerait plus qu’une ambition mort-née. Il vaudrait mieux dans ce cas faire l’économie de sa création.

L’ensemble des amendements proposés par Anticor, relatifs aux lois sur la fraude, et sur le parquet financier sont disponibles sur le site de l’association, ainsi que celles relatives aux lanceurs d’alerte (initialement inscrites dans le projet de loi transparence).


[1] Dossier Guja contre Moldavie, 12 février 2008, n°14277/04

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 11:51

Avec Anticor, les Maires sortants candidats à leur propre succession qui serait tentés d’utiliser les moyens de leur Mairie (financiers, en personnels ou en nature), pour donner un coup de pouce illicite à leur campagne électorale, sauront à quoi s’en tenir.

Saisine Procureur de la RépubliqueLe responsable d’Anticor 78, Jean-Luc Trotignon, conjointement avec un adhérent de Saint-Cyr-l’École, Sébastien Durand, et un conseiller municipal d’opposition, Daniel Guerson, vient de le montrer en saisissant le Procureur de la République des Yvelines (lire la plainte complète), au sujet de ce qui leur semble être un détournement de fonds public du Maire de cette commune (art. 432-15 du Code Pénal).

Ce dernier, Bernard Debain, a en effet commandé à l’IFOP le 26 février dernier, grâce aux finances de la commune (18 000 habitants), une enquête d’opinion auprès des habitants, comme Anticor 78 l’avait relaté sur son blog le 7 mai dernier.

Parmi les objectifs fixés à l’IFOP pour ce sondage, la mairie demande à « établir un premier état des lieux du rapport de force électoral ». Après avoir analysé « l’image du Maire et de l’équipe municipale », l’institut de sondage étudie ainsi les « intentions de vote pour les élections municipales ».

L’IFOP conclue ainsi son chapitre consacré aux objectifs de l’étude : « In fine, cette étude fournira à la mairie de Saint Cyr l’Ecole une connaissance précise de l’état de l’opinion, des perceptions et des attentes de ses administrés ainsi que des éléments concrets et opérationnelslui permettant de piloter sa prochaine campagne électorale ».

Dans un article du Parisien en date du 24 avril, le maire-candidat (UMP) revendique les objectifs de l’enquête : mesurer « au plan local » l’influence réelle du FN et l’éventualité du retour d’une liste concurrente à droite… C’est-à-dire se munir des connaissances, aux frais de la collectivité, pour déterminer la stratégie de sa propre campagne électorale.

 

Le Préfet des Yvelines, saisi par l’élu d’opposition Daniel Guerson, a écrit au Maire le 22 juillet que 2 des 4 parties de ce sondage présentent bien « un caractère électoral ». Et il conclue que c’est à tort que cela a été imputé au budget communal.

Mais ce n’est pas parce que le Maire rembourserait éventuellement la commune qu’il n’y aurait pas eu une tentative flagrante d’utiliser des fonds publics aux fins personnelles de sa campagne électorale, ce qui peut également être puni de 10 ans d’emprisonnement et 150 000 € d’amende, tout comme le délit de détournement de fonds publics.


 

Pour se justifier, Bernard Debain avait donné la raison entendue tant de fois : « Tout le monde agit ainsi. Mon prédécesseur l’a fait. »…. Et bien, Anticor et ses adhérents sont maintenant là sur le terrain pour que plus personne ne puisse agir ainsi. Qu’on se le dise !

 

Accès à l'ensemble des pièces jointes à la saisine du Procureur de la République, dont le sondage lui-même :

1ère partie des pièces

2ème partie des pièces

3ème partie des pièces

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 15:33

Par anticor78

 

Le résultat final à l'issue du second tour est malheureusement conforme à ce que le premier tour pouvait laisser envisager : c'est un élu condamné pour corruption en 2009 qui va entrer au Conseil général des Yvelines, avec la complicité de nombre d'élus du département.

Pierre Bédier a en effet été élu avec 60 % des voix. Merci à Rama Sall d'avoir défendu nos/ses valeurs éthiques durant cette campagne.

Le taux d'abstention est extrêmement élevé à 72,50 %. Par contre, les contribuables, eux, n'auront pas le choix de l'abstention pour régler les plus de 70 000 euros qu'auront coûté cette élection artificiellement provoquée pour qu'un élu condamné puisse siéger au Conseil général des Yvelines. 

Anticor a encore malheureusement beaucoup de travail devant lui !...

Continez à faire signer notre pétition en ligne pour exiger qu'un élu condamné pour délit d'atteinte à la probité ne puisse plus se représenter en France (2 880 signatures à ce jour) :

http://www.avaaz.org/fr/petition/UN_CASIER_VIERGE_POUR_TOUT_CANDIDAT_AUX_ELECTIONS/?copy

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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 17:09

Intéressant article sur la fraude fiscale

 

http://www.les-crises.fr/pierre-condamin-gerbier/

 

je ne connais pas ce blog en dehors de cet article.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 15:25

Par l'équipe Anticor. 

 

Rappelons le contexte : Michel Vialay, Maire UMP de Mantes-la-Jolie et ami de Pierre Bédier (qui a été définitivement condamné pour corruption en 2009), vient de démissionner du Conseil général des Yvelines pour permettre officiellement à ce dernier – redevenu éligible il y a peu – de retrouver son siège, voire même d’y retrouver la Présidence du Conseil général du 78. Michel Vialay s’était pourtant fait élire avec une suppléante qui devait le remplacer en cas de démission. C’est là qu’une seconde démission de complaisance est intervenue aussitôt, la suppléante n’étant autre que la femme de Pierre Bédier… L’organisation de cette élection partielle de complaisance coûtera tranquillement plus de 70 000 € aux contribuables, selon les chiffres du Ministère de l’Intérieur de 2006, tout simplement pour essayer de permettre à un élu corrompu de se faire élire, avec le soutien affiché de presque tous les élus de son camp dans les Yvelines…

 

            Dans ce contexte bien particulier, deux candidates et leurs deux remplaçants ont tenu à signer la charte éthique des collectivités locales d’Anticor, en s’engageant ainsi vis-à-vis de leurs électeurs, et nous les en félicitons. L’article 10 de cette charte exige notamment “l’absence de toute condamnation pour des délits ayant trait à la gestion de l’argent public” pour pouvoir être élu. Ces signatures ont eu lieu à Mantes-la-Jolie le week-end dernier en présence du Président d’Anticor, Jean-Pierre Guis, de Jean-Luc Trotignon, responsable d’Anticor Yvelines, et de Nelson de Jesus, administrateur d’Anticor.

De gauche à droite à la table : Nelson de Jesus, Nathalie Coste, Jean-Luc Trotignon, Jean-Pierre Guis, Rama Sall 

De gauche à droite à la table : Nelson de Jesus, Nathalie Coste, Jean-Luc Trotignon, Jean-Pierre Guis, Rama Sall

Il s’agit dans l’ordre alphabétique des candidates de Nathalie Coste et de son suppléant Joël Mariojouls (soutenus par le Front de Gauche et Europe Écologie), et de Rama Sall et de son suppléant Jacques Robert (soutenus par le PS).  A signaler qu’un candidat indépendant, Marc Jammet, n’a pas souhaité signer notre charte mais qu’il a officiellement appelé, sur son blog de campagne, à signer la pétition qu’Anticor 78 a lancée à l’occasion de cette élection.

Cette pétition réclame avec Anticor une nouvelle condition d’éligibilité : un casier judiciaire vierge de tout délit d’atteinte à la probité pour pouvoir se présenter à une élection en France, afin que Pierre Bédier soit le dernier à pouvoir être candidat malgré sa condamnation.

Cette pétition a recueilli 2 370 signatures en 8 jours. Si vous ne l’avez pas encore signée ou si vous n’avez pas encore fait signer vos amis, n’hésitez pas à le faire en cliquant ici !

Plus d’infos :

http://blogs.mediapart.fr/blog/jluc-trotignon/110613/une-election-provoquee-pour-un-elu-condamne

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18 juin 2013 2 18 /06 /juin /2013 22:44

La semaine dernière j'ai pu assister à la réunion publique organisée par l'UMP au CDA de Poissy. J'ai donc profité de l'intervention de David DOUILLET (député de ma circonscription, conseiller régional et candidat aux municipales de Poissy). Honnêtement je ne l'ai jamais considéré comme le symbole du renouveau en politique, le contenu du discours m'a d'autant plus surpris.

David DOUILLET a en effet appelé à faire autrement de la politique et a fustigé les "politicards". Il a encouragé l'audience (essentiellement UMP) à ne plus voter pour de "mauvais candidats". Y compris, et c'est là la nouveauté, pour les mauvais candidats de droite. Il a clairement appelé son électorat à voter blanc si le candidat de droite n'est pas exemplaire.

 

En pleine campagne électorale pour les cantonales partielles où Pierre BEDIER est candidat et à quelques kilomètres de là. Difficile de ne pas faire le rapprochement.

 

Je félicite donc David DOUILLET pour cette prise de position, même s'il n'est pas allé jusqu'à donner des noms. Mais on peut comprendre qu'il est difficile pour un cadre de l'UMP de s'opposer à un candidat UMP. C'est un début qui mérite d'être salué.

Car quel type de candidat peut être Pierre BEDIER si ce n'est un candidat non exemplaire ? Il suffit de lire cet article. En précisant que cette élection arrive juste avant un projet de loi sur la transparence où ANTICOR milite pour la virginité du casier judiciaire comme prérequis à tout candidat. Pierre BEDIER serait alors le dernier repris de justice à pouvoir se présenter à une élection.

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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 10:40

La pétition lancée la semaine dernière pour imposer un casier judicière vierge de toute atteinte à la probité pour être candidat à une élection dépasse les 2000 signatures et continue de grandir.

 

http://www.avaaz.org/fr/petition/UN_CASIER_VIERGE_POUR_TOUT_CANDIDAT_AUX_ELECTIONS/?copy

 

Pour être fonctionnaire il faut avoir un casier verge.

Moi-même, lorsque j’étais étudiant, j’ai dû justifier d’un casier vierge pour pouvoir donner quelques heures de soutien scolaire.

Les entreprises privées n’hésitent pas à le demander pour une embauche, parfois sans l’accord du postulant. Alors pourquoi pas un élu qui a de grands pouvoirs, est très peu de contrôlé et gère notre argent?

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 18:41

Pierre Bédier, ancien président UMP du conseil général des Yvelines et ex-secrétaire d’État, a été définitivement condamné par la Cour de cassation le 20 mai 2009 à 18 mois de prison avec sursis, 25 000 € d’amende et 6 ans d’inéligibilité (ramenés à 3 plus tard), pour corruption passive et recel d’abus de biens sociaux dans une affaire de corruption à Mantes-la-Jolie.

Une élection cantonale partielle s’en est suivie et son comparse Michel Vialay, Maire UMP de Mantes-la-Jolie, s’est fait élire Conseiller général à sa place. Pierre Bédier a maintenant recouvré son éligibilité. Problème pour lui : il n’y a pas d’élection en vue pour se faire ré-élire dans l’immédiat. Qu’à cela ne tienne : Michel Vialay vient de démissionner pour le lui permettre, et tant pis pour les 70 000 € que l’organisation de cette élection* va coûter aux contribuables !

Pourtant une remplaçante avait élue pour remplacer Michel Vialay au Conseil général des Yvelines en cas démission. Mais celle-ci, Pascale Bédier, a aussitôt démissionné de son mandat pour permettre à son mari de se présenter…

Une élection de complaisance à 70 000 €, en période de crise, va donc avoir lieu les 30 juin et 7 juillet pour permettre à un élu condamné pour corruption de tenter de retrouver son mandat. Cette candidature de Pierre Bédier dans ces conditions est soutenue par plusieurs élus UMP des Yvelines, dont l’ancien Président du Sénat Gérard Larcher et Henri Guaino, sans que cela leur pose le moindre problème moral. S’il retrouvait son siège au Conseil général du 78, beaucoup s’attendent à ce qu’il en reprenne également la Présidence par démission complice du Président actuel qui lui a succédé, Alain Schmitz.

En cette période où, suite à l’affaire Cahuzac, la moralisation de la vie publique est devenue un chantier prioritaire, le premier amendement proposé par Anticor aux parlementaires, pour la loi sur la transparence, est l’exigence d’un casier judiciaire vierge de tout délit d’atteinte à la probité pour pouvoir être candidat à une élection en France. Parce que l’exemplarité des élus est une condition impérieuse pour rétablir un lien de confiance entre les citoyens et leurs élus.

Avec Anticor, exigeons l’inscription dans la loi de l’obligation d’un casier judiciaire vierge de toute atteinte à la probité pour pouvoir être candidat, afin que Pierre Bédier soit le dernier qui puisse être candidat en France en ayant été condamné pour corruption.

 

Signez et faites tourner notre pétition en ligne :

http://www.avaaz.org/fr/petition/UN_CASIER_VIERGE_POUR_TOUT_CANDIDAT_AUX_ELECTIONS/?copy

 

Jean-Luc Trotignon

Responsable d’Anticor Yvelines

 

* D’après les chiffres du rapport de juin 2006 du Ministère de l’Intérieur sur le coût des élections, coût moyen des élections cantonales en 2004 : 3,36 € par électeur pour 21 244 électeurs.

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 22:52

Par l'équipe Anticor

Un député qui a renié ses engagements vis-à-vis d’Anticor est assigné en justice par notre association.

Anticor inaugure de façon concrète son « service après-vote » : le non respect des engagements pris auprès de notre association en matière éthique ne doit pas rester sans conséquence.

Une action a donc été engagée au nom d’Anticor par Maître Anne-Sophie Poiroux contre Gilbert Sauvan, député PS des Alpes de Haute-Provence qui, par la signature de la Charte éthique d’Anticor des élections législatives de 2012, s’était notamment engagé à ne pas cumuler de mandats une fois élu.

Malgré cet engagement pris également vis-à-vis de ses électeurs, Gilbert Sauvan, postérieurement à son élection de juin 2012, s’est fait élire président du Conseil général des Alpes de Haute-Provence le 4 octobre 2012 (jusqu’à cette date, il était aussi resté Maire de Castellane). Il a de plus répondu par le silence avec une arrogance désinvolte à Anticor, qui lui a rappelé son engagement auprès de l’association en novembre dernier, afin qu’il se mette en conformité avec son choix de signer notre charte éthique.

Ce sera donc au Tribunal de dire si un élu peut instrumentaliser une association en se liant de mauvaise foi à une charte éthique pour obtenir la confiance des citoyens, s’il peut manquer aux engagements qu’il a volontairement contracté sans voir sa responsabilité engagée et si la parole donnée publiquement a une valeur aux yeux de la justice.

anticor_logo_rvb 23-02-12

- Gilbert Sauvan doit comparaître au Tribunal d’Instance de Digne-les-Bains le 18 juin prochain à 15 h

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