Le pisciacais du 21 janvier

Petit retour sur le pisciacais du 21 janvier 14 janvier. Comme tout le monde je survole les pages d'autosatisfaction, de propagande et d'informations inutiles.

Le Maire revient finalement sur le conseil municipal du 17 décembre. Nous n'en apprendrons pas plus, les exemples concrets restent absent et l'argumentation des plus faibles. En synthèse, on reproche à Richard Bertrand d'avoir des idées et de les exprimer, de ne pas obéir au Maire. Pourtant quand Frédérik Bernard annonce dans la presse ses décisions (sur la Coudraie par exemple)  sans consulter la "majorité", cela ne pose pas de problème. Et jusqu'à preuve du contraire, la manière la plus forte d'exprimer son avis est lors du conseil municipal. Pourtant quand les communistes ou les verts ne suivent pas la majorité cela ne pose pas de problème. La présence de Mlle Berkani dans les signataires suffirait à prouver la malhonnêteté de la démarche.

J'aurai apprécié que notre maire fasse preuve de courage. Tant pis.

L'UMP n'est pas en reste. Il est normal d'utiliser ce droit (je ne comprends pas que certains refusent de l'exercer) mais j'ai du mal à comprendre les intentions de Jean-François Raynal.  Sur le fond sa déclaration est crédible. Mais la forme est lourdingue. Il faut un sacré courage pour entamer la lecture. Je ne suis pas sûr que beaucoup de pisciacais ait eu ce courage. Pourtant il y aurait des choses à dire quand on est dans l'opposition à Poissy.

Etre un opposant inaudible a finit par réussir à Frédérik Bernard, j'espère que Jean-François Raynal ne fait pas ce pari.